Scandale chez Prada ! Une employée accuse Prada de l’avoir licenciée parce qu’elle était moche. Je suis, comme vous pouvez l’imaginer, inimaginablement offusqué par la situation !
Bordel, si on peut plus virer des moches tranquilles ! Ca devrait même être inscrit dans le droit du travail, comme motif de licenciement sans indemnité. Si elle a un procès à faire à quelqu’un la guenon, c’est à ses parents !
Imaginez la nuisance visuelle que cette femme impose par sa monstrueuse présence à tous les autres employés, handicapant fortement l’entreprise : les employés pris de nausée à sa vue prennent des arrêt maladies plus fréquemment. Son volume important diminue le nombre de personnes qui peuvent monter simultanément dans l’ascenseur, augmentant le nombre d’aller retour nécessaire pour amener tous les employés à l’étage de leur travail, ce qui est une perte de temps pour les employés qui attendent l’ascenseur plutôt que d’être assis à leur bureau, ainsi qu’une dépense d’énergie coûteuse et dommageable pour l’environnement. Si un unique employé est laissé à l’extérieur de l’ascenseur à chaque fois, et qu’il attend l’ascenseur 2 min supplémentaire chaque jour dans les deux sens, à la fin de l’année, il a perdu près de 4 jours de travail !
De plus, c’est un véritable choix éthique de management. Imaginez une équipe de travail avec des employés tous plus beaux les uns que les autres ! Imaginez l’émulation ! Tous essaieraient vertueusement d’obtenir les meilleurs résultats au travail afin d’impressionner les membres du sexe opposé. Simplement freudien ! Tout ça dans une ambiance cordiale et détendue de séduction retenue. Plus besoin d’imposer une pression artificielle, les employés étendrait leur zèle à tous les aspects de leur journée de travail, dopant ainsi, sans douleur les résultats de l’entreprise !
Il est indigne pour une quelconque justice de vouloir couler une entreprise, en lui imposant des choix de management délétères.
Si les gens se suicident à France Telecom, c’est probablement parce qu’ils ont des moches parmi eux !