Hé hé hé… J’en ai eu quelques uns !
Évidemment, je ne pensais pas ce que j’ai écrit dans le billet précédent. Et pourtant, je ne ressens pas d’hostilité hypertrophiée pour Besson.
Pourtant, en écoutant la chronique, le caractère fictif me paraissait très clair. Stéphane Guillon n’a jamais accusé Besson d’être un secret admirateur de JM LE Pen. Il a raconté une histoire fictive prêtant une vie secrète à un Besson hypothétique.
C’est toute la différence entre un : Carla Bruni fait le trottoir la nuit - et un – Carla Bruni pourrait secrètement revêtir un porte-jarretelle et déambuler sur les pavés de La Chapelle. Dans le premier cas, je la traite de pute, dans le deuxième, je lui écris une vie alternative.
D’autre part, le pathétique Besson vient nous faire larmoyer sur son triste sort de politique… Petit David contre le Goliath humoriste à France Inter. Notre Caliméro arriverait presque à nous faire oublier qu’il est ministre, et donc détenteur du pouvoir exécutif de la façon la plus directe. De plus, si réellement la critique de Guillon était si facile et si peu pertinente, il lui serait facile de la balayer d’un argument bien trouvé. L’inconvénient, c’est que justement, ça fâche… Et monsieur le ministre ferait bien de se demander pourquoi ça fâche, et pourquoi cette critique apparaît et est si populaire…
D’autre part, la chronique de François Morel m’a fait bien rire également !
Je vous invite à regarder les mots clés du billet précédent pour découvrir la supercherie.
Tags : 1er Avril, eric besson, François Morel, poisson d'avril, Stéphane Guillon
Merde, je me suis fait eu, pourtant j’en ai déjoué plein hier…
Rassuré !